Les objets et l’environnement devraient être désigné pour être utilisé sans modification par le plus de monde possible.
Historiquement ce principe s’adresse aux personnes ayant des handicaps physiques mais la connaissance et l’expérience de l’accessibilité augmentant, il ressort que beaucoup de ces « accommodations » peuvent servir à tout le monde.
L’accessibilité se définit en quatre points.
Perceptibilité. Tout le monde peut percevoir le design quelles que soient ces habilités sensorielles. Il est utile de mettre en place des informations redondantes (visuelles, auditives, tactiles) telles que les contrôles d’un ascenseur.
Opérabilité. Tout le monde peut utiliser un objet quelles que soient ces habilités physiques. Il est utile de minimiser les actions répétitives ou demandant un effort physique constant ou encore de faciliter l’utilisation des contrôles avec de bonnes contraintes et affordances.
Simplicité. Tout le monde peut comprendre le design quels que soient son expérience, son niveau d’étude ou sa concentration. Il est utile d’enlever toute complexité inutile, créer et indiquer les contrôles de façon claire et cohérente, utiliser un niveau progressif d’information ou encore fournir un retour d’information clair.
Tolérance. Le design minimise la fréquence et les conséquences d’une erreur. Il est utile d’utiliser les contraintes et les affordances pour prévenirles erreurs, les confirmations et les alertes pour diminuer leur fréquence ou encore d’inclure des actions réversibles et des filets de sauvetage pour minimiser les conséquences d’une erreur.
Texte traduit provenant de Universal Principles of Design